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Super Dimanche.. Super Sunday.. Dimanche Magnifique ?

La Louisiane présente un problème intéressant équand il s’agit des néologismes. Y a les événements culturels qui sont bien connus avec les titres en anglais, mais comment ils s’appellent en français éoù tout quelqu’un comprend déjà l’anglais ? Par exemple, le Super Sunday sors de se passer à la Nouvelle-Orléans. Cette fête est une des fêtes des Indiens du Mardi Gras, éoù eux-autres parade tout au long le voisinage Central City, mais quoi ce qu’on appelle ça ? « Le Super Sunday » est clair, pourtant c’est l’anglais. « Le Super Dimanche » est plutôt le français, mais le français de la France. « Le Dimanche Magnifique » pourrait aller, c’est local, mais la signification est pas complètement la même. Dans un pays éoù l’anglais est un langage étranger, on arrangerait ce problème par la réflexion sur soit que le nom est aussi fort qu’on va le reconnaître sans le traduire ou que le nom exige une traduction pour être compris. Dans la Louisiane, tout chacun va le reconnaître sans le traduire parce que l’anglais est la langue dominante.

Peut-être un exemple qui est même plus difficile est « le second line », ou « la deuxième affilée ». Ça, c’est une parade traditionnelle à la Nouvelle-Orléans et, au même temps, le titre est un nom composé qui signale pas clair ça qui veut dire, mais proche tout quelqu’un qui reste en Ville va le comprend en anglais. Ça se fait, on devrait le quitter rester en anglais ou le changer en français ? Comment ce changement arriverait jamais si pas personne avoir besoin de trouver vraiment une version française du mot pour le comprendre ? Moi, j’ai pas les réponses à ces questions mais je suppose ça, c’est une des raisons que les mots comme « drive », « peanut-beurre », et « gone » ont arrivé dans le français louisianais.

En tout cas, je voudrais vous laisser avec ces vidéos du Super Sunday.. ou Dimanche Magnifique.. peu importe.

Le Pourim, à la mode Nouvelle-Orléanais.

Rava déclare que « l’on doit « se parfumer » (s’enivrer) à Pourim jusqu’à ne plus pouvoir distinguer « maudit soit Haman ! » de « béni soit Mardochée ! » ». – Wikipédia

C’est pas clair si eux-autres était assez tchaques pour ça, mais eux-autres était après passer un bon temps, ça, c’est vrai. Moi, je suis pas juif et j’ai même jamais entendu du Pourim, mais j’ai pris un bon verre de vin moi-même.

Le Pourim est une fête éoù les Juifs célèbrent le fait qu’eux-autres a survi le complot à Haman, ça qui aurait achevé tout chacun. Pendant la fête, c’est commun de lire la meguila, faire les dons aux pauvres, manger, et boire (comme déjà dépeint). J’ai en effet trouvé une vidéo d’une parade, compris les costumes, mais je crois que ça, c’est pas la norme. Mais, à la Nouvelle-Orléans, y aurait jamais une autre manière de célébrer un jour comme ça ? Mais non.

La culture de la Nouvelle-Orléans, la exigence de parader, amène en publique tout ça qui serait privé. Ça crée l’occasion à exprimer nos différences dans une manière qui est une partie de la culture de tout quelqu’un. C’est ça, qui me convainc que cette place est spéciale. Nous-autres, on se réjouit de nos différences, mais on le fait ensemble, après faire un gombo unique, comme on dit.

Un mariage, de la fierté, et des bêtises.

Ci-dessous c’est une parade à mariage, typique à la Nouvelle-Orléans. Je l’ai trouvé tandis qu’une marche des fiertés se passait alentour. Manière ironique, manière magnifique.

Plus tard dans la nuit, ces bougres de New York offraient cinq piastres pour des bêtises.

© 2024 Josh McNeill

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