Étiquette : créole louisianais

Cache et puis fête.

Ou la fête est cachée ? Ou la cache est faite ?

Il y a plusieurs différences lexicales entre le français de référence et le français louisianais. On dit le cache-cache dans la France, et des fois le cache-est-faite dans la Louisiane, mais ça, c’est pas le centre de ce post. On va parler pour l’orthographe.

Ce nom composé est écrit comme au-dessus, cache-et-faite, cache-fette, cachez-fête, et caché-fête. Toutes ces orthographes sont prononcées les mêmes et peuvent égal vouloir dire quelque chose de différent si on jongle après lotres éléments.

L’écriture du français louisianais, ou plutôt de n’importe quel langage non écrit, est parfaite si on souhaite étudier la manière que les parleurs séparent les mots dans lotres têtes. C’est bien possible que l’orthographe standard du français pousse les parleurs à penser que, par exemple, je sais est vraiment deux mots, tandis le je est un clitique qui peut pas être séparé du verbe. Ça fait, on pourrait égal écrire chais sans créer trop de problème. Ces affaires arrivent en fait souvent dans les domaines familiers ; l’épelage chu pour je suis peut être se retrouve, par exemple, dans les SMS et en ligne aussitte.

Dans la Louisiane, l’exemple de ça qui paraît le plus souvent est l’agglutination. Les liaisons, équand eux-autres est bien régulières, deviennent une vraie partie des mots. Ça fait, on dit le n-oncle et un z-haricot parce que l’écriture standard réussit pas à influencer les parleurs analphabètes. Ces formes sont toujours variables, cependant. À mesure qu’on approche le créole, on les voit devenir les règles. À la fin, ça requiert une nouvelle orthographe. Le mal qu’on trouve, après essayer d’écrire le créole avec le système d’écriture sur équel ça, c’est basé, fait que cette nouvelle orthographe est plus ou moins nécessaire, mais on perd quelque chose après ce choix.

Là, ça nous amène back au sujet du cache-est-faite. Je suppose que j’ai pas parlé beaucoup pour ce mot, je m’ai manière perdu, mais un autre angle, pour équel je voudras parler dans un post qui vient, est l’étymologie.

Créole, comme l’opéra spiritual afro-américain du XXe siècle à New York.

Opéra Créole. Pour un groupe musical, c’est un nom intriguant qui évoque les sens abondants qui se peuvent. Eux-autres chante les standards d’opéra en créole ? Le créole haïtien ou louisianais ? Ou eux-autres chante la musique composée par le peuple créole ? Dans ce cas, quelle définition du peuple créole qu’eux-autres suit ? Y a eu des aucuns créoles qui ont composé les pièces d’opéra premièrement ? Cependant, Opéra Créole est pas vraiment une de ces affaires; c’est plus comme ça :

Non pas que j’aie une charge contre Scott Joplin, et Treemonisha est avec certitude un trésor caché, mais quoi ce qu’une œuvre par l’initiateur du ragtime, un native de Texarkana, a à voir avec n’importe quoi de créole ?

J’ai vu ce groupe y a plusieurs semaines à l’église Rayne Memorial United Methodist à la Nouvelle-Orléans et ça que j’ai découvert était un essai de dépeint un portrait de la vie musicale du peuple créole en Ville pendant le XIXe siècle. Le programme a les titres qui comprennent des thèmes tels que les arias favories, les compositions par les compositeurs créoles, et.. les spirituals afro-américains du XXe siècle ?

Encore une fois, comment Porgy and Bess à Gershwin ou Mass à Bernstein s’adonne avec la vie créole du XIXe siècle à la Nouvelle-Orléans ? Quoifaire comprendre de la musique d’un siècle différent à une mode entièrement différente, particulièrement équand le nom du groupe, Opéra Créole, suggère que la musique qu’eux-autres joue sera la musique lyrique ? Une telle disposition variée de sources crée une incohérence qui est plutôt un chouchou à viser quelques affaires nommées ci-dessus, qui me semblent complètement gones de n’importe quel groupe après jouer au jour d’aujourd’hui.

Opéra Créole est au point des choix de programmation unique, en tout cas. Le set a commencé avec E tan patate (Traduit comme Whenever Your Potato is Done {N’importe équand ta patate est fini} dans le programme) et Fais dodo et puis a terminé avec Cher, mo lémmé toi (Cher/Chère, je t’aime), trois chansons traditionelles louisianaises, arrangées par la musicienne Camille Nickerson. Ça, c’était la première fois que moi, j’ai jamais entendu, ou même entendu de, les chansons orientées vers la musique classique et chantées en créole louisianais. On aurait de la peine à trouver des exemples du langage dans la musique cadienne, la-la, ou zarico, encore moins dans la musique orchestrale. Le groupe a aussi fait à l’audience chanter deux lignes répétées de dernière pièce, après fournir une occasion d’apprendre une phrase commune créole (Mo lémmé toi kòm ti kochon lémmé labou [excusez l’orthographe], Je t’aime comme un petit cochon aime la boue). Un programme entier dédiqué à ce type d’affaire aiderait beaucoup à donner au groupe une mine unique tandis que ça aiderait aussitte à garder un langage local en voie de disparition, pourtant ces chansons ont justement fonctionné comme serre-livres à un recueil bien différent.

Des compositeurs créoles peu connu, comme Edmond Dédé et Samuel Snaër, comprennent aussitte une partie de ce programme. Dans ce cas, je veux dire créoles comme l’idée du XIXe siècle, qui comprend plus ou moins ceux qui ont été né dans la Louisiane. Ça confond même plus fort l’affaire puisqu’Opera Créole m’a l’air de préférer la définition moderne du mot créole, qui veut dire n’importe qui qui est d’origine africaine et française, né dans la Louisiane, ou peut-être n’importe qui qui est tout simplement d’origine africaine. À la fin, moi, je suis pas sûr de ça qu’Opéra Créole s’agit, mais cette idée des définitions variables du mot créole mérite peut-être un autre poste.

© 2024 Josh McNeill

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