Après continuer sur le sujet de la manière de créer un univers improvisé d’immersion linguistique (icitte et icitte), je voudrais parler après le fait de se perdre.

Malheureusement, j’ai travaillé dans un magasin AT&T. Cependant, ça m’a conduit à passer plusieurs interactions avec des Louisianais que j’aurait peut-être pas passé autrement, telle qu’avec la vieille Vietnamienne que j’ai un jour aidé à arranger son haut-parleur Bluetooth. La situation était un petit brin difficile puisque moi, je parlais pas vietnamien et elle, elle parlait pas bien anglais, mais on s’a démêlé. Proche de la fin, j’ai par accident tapé un bouton qui a fait l’appareil commencer à parler et ça que j’ai entendu était le français. Ça s’adonnait que cette femme pouvait parler finiment français, ça fait on a ainsi fini.

La combinaison du fait d’être apparemment un groupe étriqué et d’être d’un pays que la France a contrôlé signifie que beaucoup de Vietnamiens sont peut-être dans une situation linguistique similaire. Ça qui est cependant important, c’est que la machine de cette femme était après parler français.

Les GPS parlent égal français. Ces petites boîtes qui nous permettent de drive sans une pensée de place en place pourraient le faire en français, si ça, c’est le langage qu’on a envie d’apprendre. Ça a peut-être l’air d’une possibilité effarouchante, surtout si la comprenure orale est le point faible de quelqu’un, mais ça, c’est exactement la raison que c’est bien une bonne idée.

Dans les situations de la vraie vie, on a pas toujours le temps ou la capacité de sortir un dictionnaire ou demander à son interlocuteur de répéter ça qu’on a dit cinq fois ; les vraies interactions linguistiques vont vite avec un hourra de pressions. Ça se passe égal équand on essaie d’user un z-outil important qui est pas trop familier.

L’avantage de l’usage des GPS de cette manière est aussitte que lotres vocabulaires sont obligément bornés. Eux-autres a plus ou moins pour dire les affaires comme « vire à droite » et « continue tout droite », et ça, c’est proche tout. Ça veut dire que le vocabulaire d’un utilisateur a pas besoin d’être particulièrement grand non plus. Un apprenant peut avoir un inventaire simple des mots à son service et là être toujours à un niveau suffisant pour soit comprendre tous les mots usés de l’appareil soit avoir seulement besoin d’apprendre à reconnaître plusieurs mots supplémentaires.

Le fait que l’information communiquée des GPS est toujours bien importante dans un sens pratique improuve davantage lotre utilité. Qui pourrait être pire que se perdre dans un univers linguistique étranger, demander le chemin à quelqu’un, là pas être capable d’y comprendre ? S’habituer à dépendre d’écouter le chemin en un langage cible de quelqu’un avant de jamais se perdre pourrait changer une situation tendue à rien qu’une agacerie mineure et une occasion de retrouver la satisfaction des facultés linguistiques de quelqu’un équand la situation est rarrangée.