Dans l’histoire musicale, ça qui différenciait la Nouvelle-Orléans de la balance des États-Unis était que les tambours étaient pas interdits aux esclaves. Y avait un espace, et le monde l’usait pour créer. Le dimanche, les esclaves pouvaient déferler sur la Place Congo, éoù eux-autres battait lotres instruments, dansait, et créait. Cet esprit continue en ville même aujourd’hui, dans les traditions, comme les festivals, les deuxième affilées, et les processions des Indiens du Mardi Gras, qui ont lieu dans les chemins, même sur la Place Congo. L’espace ouvert, sans interdictions, fait partie intégrante de la création, et peut-être que ça, c’est le plus évident à la Nouvelle-Orléans, éoù on trouve les projets comme le Music Box Roving Village :

Cette installation est encore un autre exemple de la manière que l’espace ouvert devient une occasion de créer librement, icitte. Ça me rappelle égal la manifestation contre l’ordonnance de train y a plus qu’un an. Après cet événement, les membres du conseil municipal considéraient des règles qui auraient sanglé qu’on aurait ni pu, par exemple, avoir l’amplification ni la musique sans une scène. C’était étrange que cette possibilité a premièrement arrivé au conseil si on considère l’histoire de la ville. Ça me tracasse, mais le fait que cette installation est encore possible me donne de l’espoir.