Ça, c’est un enregistrement des séminaristes du Collège Hellénique de la Sainte Croix, qui était après chanter pendant le Festival Grec à la Nouvelle-Orléans. C’était un beau son, çu des deux chanteurs, qui ressemble à l’organum fleuri à Léonin (dit Leoninus), éoù la voix principale grouille librement tandis que l’autre voix reste beaucoup longtemps sur ses notes. En tout cas, ni l’un et ni l’autre prononce vite les paroles, après choisir de jongler bien pour la parole de Dieu. À cause de ça, c’est peu probable que vous-autres peuve entendre qu’eux-autres est après chanter en anglais.

Grec

J’ai écrit un petit brin après l’importance à institutionnaliser les langues en voie de disparition. J’ai égal mentionné un peu le cas de l’hébreu (que j’ai idée d’écrire plus). Pareillement, le grec a l’air d’être institutionnalisé dans l’Église orthodoxe, mais pas aussi fort, du moins à la Nouvelle-Orléans, puisque ça existe rien que dans l’écriture, comme dans le portrait à droite.

Ça, c’était pas le cas pour le français louisianais au passé, éoù c’était normal d’assister à la messe en français. Au jour d’aujourd’hui, les messes comme ça ont lieu peut-être seulement aux festivals à Lafayette. Mais quoifaire ? Y a évidemment des prêtres qui parlent français et du monde qui veut passer la messe en français, si on peut le juger par les festivals et le fait qu’y a eu des occasions d’apprendre les prières sur le groupe Facebook, qui s’agit du français louisianais. D’après moi, c’est à cause de la dispersion des parleurs. Peut-être qu’y en a pas suffisamment dans toutes les paroisses, et le but pour les prêtres est communiquer avec autant d’aucuns que possible. Ça veut dire que l’anglais est le moyen le plus efficace parce que tout quelqu’un dans la Louisiane le parle. Pourtant les festivals regroupent autant de francophones que les messes sont possibles, mais pour que ça peut normalement passer aux églises, les parleurs ont pour se montrer comme parleurs, assez fort que ça semble nécessaire à offère les services en français.