Je peux me rappeler la première fois que j’ai jamais entendu la musique cadienne/créole. C’était pendant j’étais après étudier à City College of San Francisco. J’ai suivi un cours sur la musique américaine et une partie de ce cours s’agissait de la musique cadienne/créole. Mon professeur a mis de l’Amédé Ardoin et moi, j’étais envoûté, sans doute grâce au langage autant que le son brut. Ça, c’était mystérieux, quelque chose qui m’a fait imaginer une terre exotique qui était quand même une partie des États-Unis. L’image, c’était fort, puissant, comme les idées des bayous et ouangateurs (à ce temps-ça, j’ai pas connu much des différences entre la culture de la Nouvelle-Orléans et la balance du sud de la Louisiane).

À propos du maintien des langues, cette puissance l’aide si tant. Ma thèse sur l’usage du langage dans la musique cadienne (ça que je vas peut-être poster bientôt) a montré que le français louisianais est tellement présent dans la musique que c’est proche sa particularité la plus importante, que ça vient au point d’être la seule caractéristique qu’on a besoin de définir la musique comme cadienne. Pour ça, on trouve beaucoup de monde qui a appris le français à cause d’un amour de la musique. C’est ça, un amour qui est étroitement lié au langage, qui peut garder les langues en voie de disparition. De plus, ça, c’est une raison de les préserver : on perd plus qu’un langage équand on peut p’us le parler.